Artist/E

Née en 1982 à Paris, Julie Kepinski est une artiste française d’origine polonaise vivant et travaillant en France. La confrontation entre une première vie « extérieure » à New-York et une deuxième vie « intérieure » en France fut l’éveilleur de son travail. Guidée par le Beau, elle découvre outre-Atlantique les berges sans terre de l’esthétique avant d’accoster, depuis son pays natal, sur les terres informes du fond. De ce rapport dialectique surgit une réflexion sur le rôle de l’Art aujourd’hui ainsi que sur les liens de dépendance entre le Beau, le Bien, le Vrai comme entre le visible et l’invisible.

Vision onirique, charme sensoriel, trouble du sens caché, ses projets se veulent à l’image de l’existence : complexe, profonde, énigmatique, envoûtante, initiatique. S’inscrivant dans l’héritage Nabi, tant du point de vue chromatique que spirituel, ils explorent la dimension symbolique et sacrée de l’Art au service du devenir humain. Qu’il s’agisse de son univers pictural coloré rappelant la palette de Maurice Denis ou de ses dessins et céramiques monochromes, chaque œuvre est conçue comme une icône, un témoin des étapes voilées de l’existence, une interrogation sur la notion d’appartenance. Appartenance aux cloisons comme aux traits d’union que constituent la culture, la société, la famille, l’autre, le corps, l’esprit. Appartenance(s) comme point(s) de départ fixe(s) et périmètre expansif dont son interdisciplinarité est une manifestation.  Par leurs langages propres, chaque médium tente de dévoiler les frontières invisibles traversant, entourant ou attirant l’être.

Partageant le rêve, le mystère et la synthèse des arts avec le symbolisme du XIXe siècle, son travail s’y oppose par sa clarté et sa lucidité confiante, comme par sa vision de la femme. Loin des polarités symbolistes encore existantes de nos jours, il questionne ainsi la féminité et ses enjeux actuels au travers d’un fil tendu entre la femme fatale et la Vierge Marie. Projetant une subjectivité afin de former une réalité nouvelle, l’artiste souhaite inspirer au spectateur une réaction non pas émotionnelle mais spirituelle, entre mythes et réalité.

Julie Kepinski est née en 1982 à Paris dans une famille d’origine polonaise. Son chemin d’artiste tracé en dehors de l’institution des Beaux-Arts s’inscrit dans le prolongement de cette pensée de Louise Bourgeois : « l’art est une façon de se reconnaître ».

D’une enfance parisienne abreuvée de livres d’art et d’expositions, elle retient la joie de la couleur, la rigueur du détail, la puissance du symbole, l’audace de l’idée, le génie de l’expression. Maurice Denis, Turner, Bosch, Rothko, Twombly et Opalka forment son astérisme.

Adolescente à la poursuite de l’or du temps, elle se lance sur le chemin du Luxe, sphère de création et d’art-isanat semblant à même de la nourrir. Devenue Directrice Marketing chez Cartier à New York, elle vit une prise de conscience déterminante. Lors d’une de ses visites tant aimées auprès des artisans de l’atelier de Haute Joaillerie, les trois lettres au cœur du nom de la Maison embrassent ses yeux. ART. Soudain, ses heures passées sur les bancs de la Parsons School of Design ou à regarder les tailleurs de diamants, sculptent sa psyché, la révèlent à elle-même. Si le Design a la vocation de générer des réponses, elle a celle de susciter des interrogations. Comme l’Art. De passer à la quête de l’hors du temps.

Elle décide donc de tout quitter et de rentrer en France afin de répondre à cet appel inassouvi. La confrontation entre sa première vie «extérieure» à New-York et sa seconde vie «intérieure» en France est le grand éveilleur de son travail : révéler l’intrication entre le visible et l’invisible, entre l’or et l’hors.

Vision mystérieuse, empreinte onirique, charme sensoriel, ses projets se veulent à l’image de l’existence : complexe, multiple, énigmatique, envoûtante, visant la sublimation. S’inscrivant dans l’héritage Nabi tant du point de vue chromatique que spirituel, ils explorent la dimension symbolique et sacrée de l’Art.

Qu’il s’agisse de son univers pictural riche en couleurs ou de ses dessins et céramiques monochromes, chaque œuvre est conçue comme une icône, un témoin des étapes voilées de l’existence, une réflexion sur la notion d’appartenance.

Julie Kepinski est née en 1982 à Paris dans une famille d’origine polonaise. Son chemin d’artiste tracé en dehors de l’institution des Beaux-Arts s’inscrit dans le prolongement de cette pensée de Louise Bourgeois : « l’art est une façon de se reconnaître ».

D’une enfance parisienne abreuvée de livres d’art et d’expositions, elle retient la joie de la couleur, la rigueur du détail, la puissance du symbole, l’audace de l’idée, le génie de l’expression. Maurice Denis, Turner, Bosch, Rothko, Twombly et Opalka forment son astérisme.

Adolescente à la poursuite de l’or du temps, elle se lance sur le chemin du Luxe, sphère de création et d’art-isanat semblant à même de la nourrir. Devenue Directrice Marketing chez Cartier à New York, elle vit une prise de conscience déterminante. Lors d’une de ses visites tant aimées auprès des artisans de l’atelier de Haute Joaillerie, les trois lettres au cœur du nom de la Maison embrassent ses yeux. ART. Soudain, ses heures passées sur les bancs de la Parsons School of Design ou à regarder les tailleurs de diamants, sculptent sa psyché, la révèlent à elle-même. Si le Design a la vocation de générer des réponses, elle a celle de susciter des interrogations. Comme l’Art. De passer à la quête de l’hors du temps.

Elle décide donc de tout quitter et de rentrer en France afin de répondre à cet appel inassouvi. La confrontation entre sa première vie «extérieure» à New-York et sa seconde vie «intérieure» en France est le grand éveilleur de son travail : révéler l’intrication entre le visible et l’invisible, entre l’or et l’hors.

Vision mystérieuse, empreinte onirique, charme sensoriel, ses projets se veulent à l’image de l’existence : complexe, multiple, énigmatique, envoûtante, visant la sublimation. S’inscrivant dans l’héritage Nabi tant du point de vue chromatique que spirituel, ils explorent la dimension symbolique et sacrée de l’Art.

Qu’il s’agisse de son univers pictural riche en couleurs ou de ses dessins et céramiques monochromes, chaque œuvre est conçue comme une icône, un témoin des étapes voilées de l’existence, une réflexion sur la notion d’appartenance.